Cathédrale de Ciudad Rodrigo

Histoire

La cathédrale est dédiée à sainte Marie. Elle est déclarée monument national depuis 1889. Ce temple est orienté au levant. La cathédrale commence à se construire vers la fin du règne de Fernando II de Léon (1155-1188). Elle commence suivant un projet datant de la fin de l’époque Romane, qui est conservé en partie malgré les nombreuses modifications postérieurs (sacristie, chapelle majeure, chapelle del Pilar), dessinent un sol en croix latine avec tête tri absidale échelonnée, transept bien développer et trois vaisseaux structurés en quatre pièces, qui reçoivent la lumière directement, qui se prolongent vers l‘ouest avec le portique du pardon ou de la gloire, on trouve aussi la chapelle del Sagrario, et la chapelle de los Dolores.

Le portail nord appelé del Enlosado ou de Amayuelas, ses deux tiers inférieur sont le résultat de la première campagne des travaux. Il est décoré avec des ornement floraux et rhomboïdaux vers le chevet avec un arc aveugle orné dans ses voûtes avec onze têtes humaines. Il faut remarquer dans ce portail, une faute d’asymétrie, accentuée avec une Rosace du XIVsiècle, sous un arc en accolade perpendiculaire à ce portail, le mur arrête de la coursive et de ce cloître qui est achevé avec une balustrade qui a des éléments décoratifs gothiques. Le portail appelé del Esviaje ouvert en 1540 son auteur  fait voir son habileté pour tailler les pierres.

Quant au portail méridional des chaînes, sa moitié inférieure est le résultat de la première campagne de travaux, et tout comme le portail nord dénote une asymétrie claire accentuée par la grande rosace qui se trouve dans le haut de la porte. Un arc de demi-pointe entoure cette porte, aussi trois archivoltes qui s’appuient sur des colonnes avec des chapiteaux, entourés avec des motifs végétaux dans ses extrémités et des harpies dans la centrale.

Sur ce portail cinq sculptures superbes XIII siècle présentent au sauveur flanqué par quatre apôtres: Saint-Pierre, Saint Jean, Saint Paul et Saint Jacques le Majeur.

Sur l’arc surbaissé une galerie avec douze arcs en ogive aveugles profusément ornés qui font valoir d’autres sculptures gothiques façonnées vers l´année 1230 que l’ont identifies avec des personnages de l’ancien testament de gauche à droite : Abraam, Isaias, la Reine de Saba, Salomon, Ezequiel, Moises, Melquisedec, Balaam, David, Elias, San Juan Bautista et Jeremias. A son chevet on remarque deux arcs aveugles superposés en protègent le supérieur, la sculpture d’une vierge avec l’enfant.

Au pied du temple ressort en cassant le périmètre primitif du bâtiment, la chapelle del Pilar, que l’évêque zaragozano Clemente Comenge, a fait construire entre 1748-1753.

Le portail des nefs sud tout comme celui du nord provenant de la première campagne constructive les fenêtres magnifiques de la fin de l’époque Romane.

Le portail d’ouest d’œuvre originaire, le frise de sept petits arcs aveugles trilobés qui décorent l’extérieur de la chapelle del Sagrario. Le portail d’ouest dominé par la grande mole de la tour qui se lève sur le portique du pardon ou de la gloire a été construit par l’architecte Juan de Sagarbinaga (1764 -1772).

Dans la première phase constructive, les trois nefs apparaissent différenciées par des piliers à demi-colonnes. Les voûtes des nefs latéraux effectués déjà bien avancés au XIII siècle sont identiques avec ceux, utilisés au XIV pour fermé le transept et la nef central, entourés avec des sculptures entre les quelles soulignent celles qui sont situées dans la première part du vaisseau depuis le chevet qui représente a un roi, une reine, le premier évêque et un mendiant, que l’historiographie local identifie avec Fernando II, sa femme Doña Urraca, le premier évêque de Ciudad Rodrigo et saint François D’Assises.

La chapelle primitive, plus grande, qui menaçait de tomber en ruine à été remplacée au XVI siècle par l’actuelle en 1540 par Rodrigo Gil de Hontañon. Cette chapelle présidée par le retable peint par 1480 –et 1488 par Fernando Gallego, dans l’actualité, le retable se trouve au musée de l’université de Tucson (Arizona, USA).

Les chapelles latérales par lesquelles on accède à travers des arcs brisés ont été des niches en forme de chapelle pour l’enterrement des familles importantes de la ville.

Dans la partie centrale du navire principale l’admirable choeur de cette cathédrale dont les parois péri métriques dans lesquelles on conserve encore deux petites, mais très belles portes contemporaines avec crêtées gothiques. Les sièges (stalles) du chœur ont été réalisés entre 1502-1507, par Rodrigo Aleman et ses collaborateurs ont travaillé 72 chaises où ils ont mis en évidence luer imagination et, connaissances des sources religieuses et profane.

Le chœur a deux orgues, le petit ou réaléjo disposé du côté de l’évangile à été construit en 1727 par Pedro Liborno Echevarria.

Le meuble du grand orgue situé dans le côté contraire à été construit par Manuel de Larra Churriguera en 1730, fin du XVIII siècle. L’arrière chœur est une œuvre de Ramon Pascual Diez qui l’effectue en stuc en imitant des marbres en 1787.

Le portique du pardon ou de la gloire situé aux pieds de la cathédrale avec double accès, qui est divisé par une colonne achevée par la figure de la vierge avec l’enfant.

Le portique est flanqué de chaque côté par six colonnes quelques unes avec des chapiteaux ornés avec des sculptures la représentation principale du tympan et le couronnement de la vierge, la réalisation de cette tâche sculptural est datée du XIII siècle.

Dans les nefs de l’évangile on trouve un sépulcre donné par Fernando de Roblès et Maria Pérez Piñero pour sont enterrement, en 1559.

Il est connu comme l’autel d’albâtre ou cinquième angoisses en allusion au matériel et à la scène, excellente qui fait valoir dans l’arc inférieur, la taille de Lucas Mitata, l’organisation architectural, son réalisateur, Pedro de Ibarra, et la décoration picturale réalisées par Juan de Bourgogne le Jeune.

Le cloître on accède a travers d’une simple porte dans la première phase de construction du temple qui dessine un carré presque parfait, qui se divise avec cinq vitraux.

La partie d’ouest et méridionale dans le XIV siècle. Les galeries à imitation de celle d’ouest, la plus ancienne, elles déchirent des arcs signalés, divisés par deux ou trois colonnes, avec des chapiteaux végétaux et figuratives qui en 1911 J. Tarabella a restauré quelques sculptures. Dans la galerie ouest a été enterré le tailleur de pierres qui avait dirigé l’œuvre de la partie gothique, Benito Sanchez.

Les deux parties restantes qui ont été levées entre 1526 et 1539 sous la direction du tailleur de pierres, Pierre de Güemes dans le portail plateresque qui donne accès à la cour.